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Requiem pour Pipo - Hervé Hartmann 1998

Mise en scène

Hervé Hartmann

 

Chorégraphie

Céline Dabrowski

 

Jeu

Karine Revelant, Armel Beurier, Arnaud Chabert, Marc Benyamine, Christophe Aulanier, Hervé Hartmann

 

Univers sonore

Yann Servoz

 

Costumes, décor

Céline Vié, Christian Mena, Hervé Hartmann

 

Création lumière 

Jean-Christophe Burel, Yann Bonnaire

"Altenant climat intimiste, pantomime guerrière, danse et chant, la mise en scène est on ne peut plus expressionniste, et le point de vue adopté, celui de l'enfant anonyme intéressant ... il y a de réelles trouvailles dans l'écriture d'hervé Hartmann, et dans le jeu de ces acteurs qui ont de l'énergie  à revendre."

Ju. D - Le dauphiné - Festival d'Avignon le coin du off - 17 juillet 1998

 

"Deux trois bricoles en Avignon... pipo et la compagnie villeurbannaise ... s'en vont en guerre au pays des Papes pour trois semaines actives de festival ... La Compagnie ... avait présenté avec succès ... durant la saison écoulée ce morceau de théâtre, ce huis-clos guerrier résolument expressionniste qui virevolte sans aucun complexe du drame à l'absurde le plus drôle ... Le texte et la mise en scène de Hervé Hartmann font mouche. Les comédiens, Karine Revelant, Marc Benyamine, Armel Beurier, Arnaud Chabert et Hervé Hartmann jouent particulièrement juste et, dans ce contexte sans nom, conduisent leur monde de spectateurs entre l'émotion, l'humour et la tendresse sur des chemins maculés de sang ... Bon succès à cette jeune troupe qui ne manque pas de talents." 

Bernard Jadot - Le progrès Villeurbanne - 4 juillet 1998

 

"Cette pièce ... s'inscrit dans un contexte social dur et éprouvant puisque l'action se situe en temps de guerre dans un pays qui pourrait être la Bosnie ou le Vietnam, ou ... Requiem pour pipo, un sujet traité avec professionnalisme par la jeune compagnie, qui évite miévrerie et manichéisme primaire."

Bernard jadot - Le progrès Villeurbanne - 17 janvier 1998

L'histoire de Pipo est celle de la guerre...

 

un gosse perdu sur les champs de batailles.

 

Soudain surgissent de terre quatre guerriers,

fantômes-fantoches déballant leurs tourments, leurs lambeaux de bonheur, de folie, de rires.

 

Emporté par un vent furieux, ce huis clos expressionniste virevolte sans complexe du drame à l'absurde le plus drôle, caressé par les chants et les pantomimes des comédiens.

14 au 31 janvier 1998

Théâtre Bonneterre - Villeurbanne

 

avril 1998

Les clochards célestes - Lyon

 

12 au 16 mai 1998

Salle Genton - festival Scènes à Risque - Lyon

 

10 au 31 juillet 1998

Théâtre Galante - Festival d'Avignon

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